Organiser un calendrier sportif ressemble à l’illustration ci-dessus, que ce soit au niveau national ou au plan régional.
En Île-de-France, cela repose sur des relations de confiance et la prise en compte, au mieux, des intérêts de toutes les parties concernées, dont en priorité les joueuses/joueurs et les centres. Je dis « en priorité parce qu’à côté de ces catégories visibles, la Ligue, ses délégués et les arbitres sont également mobilisés dans l’ombre.

Outre « visibles », des joueurs sont également « audibles », voire même « nuisibles », pour rester dans la rime. Et alors que la Ligue, depuis des années, rappelle que les licenciés ne sont pas chez eux dans les centres, qui sont des établissements privés et commerciaux, certains prennent prétexte d’être des clients, parfois exigeants au delà du raisonnable, pour pourrir l’ambiance de ce qui aurait dû être un moment convivial de reprise, après 16 mois de fermeture des centres.

A celles et ceux qui se demandent pourquoi la Ligue organise toujours les compétitions dans les mêmes centres, je ne peux que rappeler que c’est parce que de moins en moins de centres acceptent les compétitions fédérales (ce qui, pour mémoire, revient pour eux à encaisser des parties à 3,40 € quand ils pourraient les vendre entre 6 et 8 €).

Conclusion : à la date du jour, nous avons 2 poules du CDC qui pourraient jouer sur 2 jours (3 ou 4 matchs le samedi matin et 4 ou 3 le dimanche matin) et une autre qui est carrément sans centre d’affectation pour la 1ère journée. 

La saison n’a pas encore commencé que je suis déjà épuisée par la sottise et la méchanceté.

Ch. Labarrière.
Secrétaire-générale + responsable de la commission sportive régionale + responsable de la commission arbitrage…. et qui passerait volontiers la main, si les grandes gueules n’étaient pas que des grandes gueules !
PS : Inutile d’aller déverser de la bile sur les réseaux sociaux ; je ne les fréquente pas.