Lorsque j’ai choisi l’image d’illustration de l’article sur la phase 1 des individuels, j’ai failli écrire à Patrick Onteniente pour le taquiner, en lui demandant si cette posture lui rappelait quelqu’un.
Je ne l’ai pas fait ; je n’aurai désormais plus l’opportunité de lui faire un petit coucou, puisqu’il nous a fait la mauvaise surprise de partir brutalement.
J’espère qu’il laissera en héritage, à ceux qui en manquent cruellement, un peu de cette gentillesse et cette discrétion qui le caractérisaient.
Toutes nos pensées vont à Mathéo, revenu récemment sur les pistes, sous le regard fier et tendre de son père.