Depuis mon retour de congés, je ne cesse de râler après ce début de saison, le pire depuis que je suis bénévole à la Ligue. Mais tout à-coup, au milieu du tumulte, du bruit et de la fureur, c’est le silence qui s’impose :
Après Patrick Laski, c’est mon Nounours, Michel Langevin, qui s’est esquivé sur la pointe des pieds, après s’être éloigné pour qu’on ne le voit pas décliner.
A tous les malotrus qui n’en ont rien à faire, je souhaite qu’ils acquièrent un jour le quart de la gentillesse, la pudeur, l’esprit d’équipe et la convivialité de ces 2 passionnés discrets.
Merci à Didier pour la photo de son vieux coéquipier.