Mise à jour du 08/01/2022 : La présentation d’un Pass’sanitaire valide et le PORT DU MASQUE pour les plus de 12 ans, dans les établissements sportifs, sont OBLIGATOIRES.
A compter du 15 janvier 2022, le pass’asnitaire devient pass vaccinal.
Cette mesure s’impose à tous, participants, accompagnants et spectateurs, hormis aux sportifs durant la pratique (c’est à dire sur l’approche, durant leur lancer). L’arbitre de la compétition est habilité à contrôler la validité du pass’sanitaire des participants, ainsi que le port du masque (couvrant le nez et la bouche). Il est en droit (et en devoir) de refuser l’accès aux pistes aux participants qui ne seraient pas en règle.
Le tableau des mesures sanitaires dans le sport (màj 3jan22)
Mise à jour du 04/12/2021 : A compter du 26 novembre, la validité du Pass’sanitaire suite à test négatif n’est plus que de 24h et le PORT DU MASQUE dans les établissements redevient OBLIGATOIRE.
Cette mesure s’impose à tous, participants, accompagnants et spectateurs, hormis aux sportifs durant la pratique. L’arbitre de la compétition est habilité à contrôler la validité du pass’sanitaire et à refuser l’accès aux pistes aux participants qui ne seraient pas en règle.
Le tableau des mesures sanitaires dans les établissements sportifs
A PARTIR DU 1er OCTOBRE, LA PRESENTATION DU PASS SANITAIRE EST OBLIGATOIRE POUR TOUS,
AINSI QUE LE RESPECT DES GESTES BARRIERE
Aucun arbitre francilien n’aime jouer au shérif, mais en tant que dépositaires d’une mission de service public (disposition de la loi « Lamour » n° 2006-1294 du 23/10/2006, intégrée dans le Code du sport à l’article L223-2 ), elles/ils ont la responsabilité de veiller à l’intérêt général.
Or, conformément à l’article 27 du règlement sportif, le » Refus d’obtempérer aux injonctions de l’arbitre en compétition » est sanctionné par un carton rouge (passible d’une amende de 3e degré), voire par un carton noir (expulsion) en cas de récidive.
Après plus de 18 mois d’abstinence, les passionnés sont impatients de reprendre la compétition. La rentrée est déjà très compliquée dans le contexte sanitaire et économique actuel, sans que nous n’en rajoutions en générant des situations conflictuelles entre nous ; indépendamment d’un relâchement constaté dans certains établissements, les arbitres doivent veiller au respect de la réglementation et appliquer avec calme mais fermeté les directives fédérales et gouvernementales.
Les récalcitrant(e)s au pass sanitaire sont invité(e)s à passer outre leurs réticences, ou à rester à la maison jusqu’au moment où les contraintes sanitaires seront allégées ou levées.
Màj / 22.09.21 : Le port du masque peut être rendu obligatoire par arrêté préfectoral, décision de l’établissement ou décision de l’organisateur. Il est donc possible que tel département ou tel centre rende le port du masque obligatoire, malgré le pass sanitaire, ou que la Ligue en prenne la décision pour certaines compétitions « à risque », comme les équipes de 5, en concertation avec l’exploitant.
Mise-à-jour à compter du 09/08/2021 : Tableau des mesures sanitaires pour le sport
Mise-à-jour du 21/07/2021 (DRAJES IdF) : Pass sanitaire actualisé
Mise-à-jour du 13/06/2021 : Vous trouverez joint le protocole de reprise du bowling, diffusé par le CNB.
Mesdames, messieurs les pratiquant(e)s et accompagnateurs,
Vous êtes nombreux/ses à vous réjouir de la prochaine réouverture des centres, prévue le 9 juin ; et je sais que certains ont d’ores et déjà programmé des compétitions privées locales.
Après 15 mois compliqués, les membres du comité directeur de la Ligue ne peuvent que partager l’impatience générale. Toutefois, la levée (progressive) des restrictions ne signifie pas un retour à la vie d’avant et à une activité normale. Il est de la responsabilité de chacun de veiller à l’intérêt général en respectant les précautions préconisées, surtout face à la désinvolture dont certain(e)s font preuve .
A toutes fins utiles, vous trouverez ci-dessous les derniers documents édités par le ministère de l’éducation nationale, de la jeunesse et des sports :
- Protocole sanitaire / Evènements sportifs sur l’espace public
- Protocole sanitaire / Reprise des activités sportives
- Fiche sanitaire / Retour du public dans les sports
- Tableau mesures sanitaires Sport
Pour celles et ceux qui n’auraient pas le courage de feuilleter ces documents synthétiques et clairs, nous avons tenté d’en extirper la substantifique moelle :
En cas de plusieurs vagues de participants, l’organisateur devra planifier l’événement de façon à ce que les participants des différentes vagues ne puissent pas se croiser avant – pendant et après l’épreuve.
Les acteurs (centre et organisateurs) veilleront à éviter les phénomènes de croisement, de regroupement et d’engorgement grâce à des parcours prédéterminés (principe de la « marche en avant »)
Une distanciation physique d’un mètre doit être respectée en tout lieu et en toute circonstance ;
Des parcours étanches sont créés jusqu’aux portes de l’enceinte via des aménagements physiques (barrières…).
Limiter au maximum les croisements dans l’enceinte (toilettes, buvettes…) ;
Un siège sur deux doit être laissé vide entre chaque personne ou chaque groupe de personnes;
Création de couloir à sens unique pour éviter les croisements ;
Privilégier la fluidité des coursives et empêcher le stationnement sur les points de passage ;
Séquencer les sorties de l’enceinte de manière progressive ;
Les exploitants d’enceintes sportives fermées veilleront à assurer un renouvellement de l’air
- Vérifier l’absence d’obstacles au bon fonctionnement de la diffusion de l’air dans les locaux ;
- S’assurer du bon fonctionnement et de l’entretien de la ventilation mécanique (VMC) ;
- Favoriser la mesure du dioxyde de carbone (gaz carbonique – CO2) dans l’air (indice ICONE de confinement) : une mesure de CO2 supérieure à un seuil de 800 ppm doit conduire à agir en termes d’aération/renouvellement d’air et/ou de réduction du nombre de personnes admises dans la pièce. Au-delà de 1000 ppm, l’évacuation du local doit être proposée le temps d’une aération suffisante pour retrouver des niveaux de CO2 inférieurs à 800 ppm. La mesure du CO2 dans l’air doit être effectuée à des endroits significatifs de la fréquentation et à des périodes de réelle fréquentation chargée.
Pour les publics non prioritaires :
En phase 2 du 19 mai au 8 juin : En espace clos et couvert, la pratique sportive est interdite.
En phase 3 du 9 juin au 29 juin : En espace clos et couvert, seule la pratique sans contact est autorisée c’est-à-dire en respectant la distanciation physique d’au minimum 2 mètres entre chaque pratiquant.
En phase 4 à partir du 30 juin : La pratique de toutes les activités sportives est autorisée sans restriction, avec contact en plein air et en espace clos et couvert
Lors de la reprise d’activité, les organisateurs devront répondre aux mesures énoncées ci-dessous :
Affichage et rappel des gestes barrière dans tous les ERP :
- Respecter le port du masque couvrant le nez, la bouche, et le menton en continu. Le masque doit être un masque grand public filtration supérieure à 90% ou chirurgical, et en parfaite intégrité
- Respect de la distanciation physique
- Nettoyage fréquent des mains
- Tousser ou éternuer dans son coude ou dans un mouchoir.
- Utiliser un mouchoir à usage unique et le jeter.
- Éviter de se toucher le visage
Désignation d’un référent COVID en charge de la mise en œuvre des protocoles sanitaires, qui puisse être un interlocuteur privilégié en cas de contrôle ou d’investigation sanitaire par l’autorité sanitaire.
Sécurisation des flux et des accueils dans les établissements sportifs pour limiter au maximum le risque de propagation du virus, notamment par marquage au sol indiquant les sens de circulation et files d’attente organisées pour l’accès à l’équipement. La fréquentation des espaces clos et la durée des séances d’activités physiques ou sportives seront modulées, pour respecter la densité et le flux des pratiquants.
La mise en place de procédure garantissant l’exclusion de tout cas contact ou personne présentant des symptômes de la Covid :
Inviter les usagers à télécharger et activer « Tous anti-Covid » et demander aux exploitants de mettre en place un QR code TAC-Signal, dans une logique de contact « warning » lorsque l’ERP rentre dans les critères définis par l’autorité sanitaire.
L’absence d’utilisation de cette application peut être compensée par la mise en place d’un registre. L’établissement doit renseigner la date et l’heure d’arrivée et de sortie du client ou de l’usager afin de pouvoir identifier ceux concernés par une enquête sanitaire et déterminer le point de départ de la conservation des fiches (14 jours). Les données à collecter doivent se limiter à l’identité de la personne (nom/prénom) ainsi qu’à un seul moyen de contact (numéro de téléphone) : il est interdit de collecter davantage de données.
Le port du masque
Port du masque obligatoire pour toutes les personnes dès 11 ans et fortement recommandé à partir de 6 ans et ce, dès les points d’entrée de l’équipement sportif, à l’extérieur et à l’intérieur du dit équipement notamment en position assise dans les espaces de restauration selon le protocole en vigueur. Les masques doivent être portés systématiquement par tous dès lors que les règles de distanciation physique ne peuvent être garanties.
Pendant leur pratique sportive, les sportifs ne sont pas soumis à l’obligation du port du masque lorsque l’activité pratiquée ne le permet pas (en cas d’activité physique intense en particulier).
Cependant le port d’un masque barrière sportif certifié AFNOR SPEC S70-001 est recommandé tout particulièrement en phase 2 et 3 dans les ERP type X.
En revanche, le port du masque est obligatoire pour les encadrants, pour toute personne prenant part à l’accueil et pour les éducateurs pendant les séances ainsi que pour l’ensemble des spectateurs.
Seul le port d’un masque grand public en tissu réutilisable de catégorie 1, couvrant nez, bouche et menton, et répondant aux spécifications AFNOR S76-001 (filtration supérieure à 90 %) ou d’un masque à usage médical normé, est autorisé et doit être porté en permanence en dehors du temps de pratique sportive.
Le respect du couvre-feu
La pratique des APS ne peut se dérouler que dans le respect des horaires du couvre-feu lorsque ce dernier est imposé.
Dans le cadre de ces préconisations, la Ligue déconseille vivement l’organisation de compétitions par équipes en juin et en rappelle que durant cette même période, les spectateurs debout derrière les pistes sont interdits.
Nous sommes bien conscients de l’impatience fébrile des plus jeunes, mais c’est justement face à cette impatience que nous, adultes, devons garder la tête froide et veiller à ce que la reprise se fasse dans les conditions les plus sécurisantes possibles.